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“On ne peut pas dire aux jeunes qu’il n’y a pas d’espoir »

Jeunes jeunesse

 “On ne peut pas dire aux jeunes qu’il n’y a pas d’espoir » 28.11.24
Difficile de ne pas baisser les bras en ce moment. Certes, les actualités n’ont jamais été réjouissantes. Mais entre les guerres, les catastrophes naturelles liées au dérèglement climatique, ou la montée de l’extrême-droite dans de nombreux pays, tout semble s’accélérer. Des événements comme la réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis au début du mois laissent présager un basculement encore plus violent à l’avenir, tant l’on redoute l’impact de son idéologie raciste, sexiste, LGBTophobe et climato-sceptique sur la marche du monde. Mais, comme le rappelle l’autrice et activiste américaine Rebecca Solnit : “Vos adversaires adoreraient que vous croyiez que c’est sans espoir, que vous n’avez aucun pouvoir, qu’il n’y a aucune raison d’agir, que vous ne pouvez pas gagner.”
https://lesglorieuses.fr/garder-espoir/

 18-25 ans : des jeunes étonnamment optimistes et résilients 27.11.23
Dans un contexte difficile, les jeunes sont plus positifs qu’on ne le pense face aux défis de demain, plus matures aussi et se définissent principalement par les causes qu’ils défendent en privilégiant des modes d’action dans la sphère privée plutôt que dans un espace public qui ne les inspire pas.
Tels sont les principaux enseignements de l’enquête exclusive réalisée en octobre auprès des 18-25 ans pour The Conversation France par le cabinet d’études George(s).
https://theconversation.com/18-25-ans-des-jeunes-etonnamment-optimistes-et-resilients-217935

 Comment les jeunes s’engagent 27.11.23
Contrairement à ce qui est souvent mis en avant dans les discours dominants, les jeunes n’ont pas démissionné de tout investissement dans la chose publique. Des enquêtes récentes ont montré qu’ils sont même plus engagés que les moins jeunes, relativisant certaines idées reçues, les décrivant comme massivement repliés sur un individualisme frileux et enfermés dans une apathie civique. En tout cas dans la perception qu’ils ont d’eux-mêmes. Alors que 72 % des 18-24 se considèrent engagés (9 points de plus que la moyenne), dont 17 % « très engagés », 55 % seulement des personnes âgées de 65 ans et plus se disent engagées, soit 8 points de moins que la moyenne (63 %), selon les données d’une enquête de 2021.
https://theconversation.com/comment-les-jeunes-sengagent-218165

Par Rédaction Yonne Lautre

Publié le jeudi 28 novembre 2024

Mis à jour le jeudi 28 novembre 2024